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Nicolae Grigoresco
En
1861, il part à Paris, où il fréquente l’École des Beaux Arts, comme
condisciple de Renoir...
J’apprécie
tout particulièrement ses portraits de jeunes paysannes…
"Swain", huile sur toile, 46x79 cm. The girl with the shoulder yoke", oil on canvas, 63x35.5 cm. Pour en savoir
plus : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolae_Grigorescu
Jean Neylies Natif de la région toulousaine, Jean Neyliès est devenu le peintre favori de la Cour royale Monté à Paris pour y devenir coiffeur, le gamin issu d'une famille très modeste de Montesquieu-Volvestre (Haute-Garonne) Jean Neylies deviendra l'un des plus grands peintres roumains. Récit d'une histoire sortant de l'ordinaire… où, alors que tant de Roumains ont apporté à la France, dans différents domaines, ce sera l'inverse qui ici se produira : un Français va laisser sa marque dans le patrimoine, cette fois-ci culturel, roumain... En 1897. A 28 ans, Jean Neylies, marié à Marie-Josèphe Eolet, mannequin et modèle à Paris, quitte l'atelier de Gérôme et la France pour suivre en Roumanie le professeur Marinescu. Celui-ci l'installe dans son logement de fonction à l'hôpital Colentina de Bucarest. Il l'introduit dans les milieux artistiques et mondains. La Reine Marie lui commande fresques et tableaux pour décorer les résidences royales. Jean Neylies est appelé à l'École Nationale de Bucarest au titre de conseiller et enseignant. Il participe aux manifestations organisées par la Jeunesse Artistique. L'exposition de ses oeuvres qu'il organise en 1903 à Bucarest reçoit un accueil élogieux de la critique. Ce sont pour lui et son épouse de grandes années de belle vie roumaine... Arrivé en Roumanie dix ans avant la mort du grand peintre, véritable monument national pour ses compatriotes, Jean Neylies fait partie de ses successeurs à qui Grigorescu a offert l'occasion de continuer et d'approfondir l'art d'une peinture nouvelle, comme "une exclamation d'étonnement devant la nature et la lumière".
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