Vraiment ravaGeant, Philippe ! AGuichant
à souhait, et d'un érotisme de bon alloi ! On se croirait au XVIIe
siècle ! J'imaGine que les ravissantes imaGes sur Paris-Première,
hier soir, t'ont suGGéré ce panéGérique coquin ! (vue l'heure de
ton messaGe, Ge GalèGe, bien sur !) Fénouzanencorsilteplé !
Cloddy
Mais tu excelles dans tous les genres Philippe! j'ai l'impression
à te lire que les mots coulent de source...
Marie-Claire
Pour surenchérir sur les appréciations de Cloddy... Je dirais 18ème
siècle plutôt que 17ème,pour le libertinage. Quant à toi Philippe, rien à dire, on sent que l'on a devant soi un spécialiste
du genre!.... (je ne parle que du genre littéraire bien sûr... Pour le
reste je ne me permettrais pas!.... sourires) Cath
Désolé j'ai cliqué au mauvais moment et le mail est parti tout
seul sans que je puisse le retenir, et vous voilà frustrés de n'avoir reçu
qu'un semblant de partage.
Heureusement j'ai plus d'un tour dans mon sac, et me revoici.
Je disais donc merci pour vos gentils retours, et non Cath, je ne suis pas
un spécialiste en rien, et je ne me souviens plus de mes vies passées au
dix-huitième siècle. J'essaie seulement de trouver du plaisir à vous en
procurer.
J'en trouve autant en visitant vos univers particuliers, (j'attends
vos satellites)Bonne jouirnée (je laisse cette faute de frappe elle est trop mignonne).
Philippe
Philippe, quels émois, quelle sensualité gourmande émanent de
ton texte ! Tu ne sais à quel point (G ?) tu me troubles, et ceci dès
le matin ! Tu es vraiment passé maître dans l'art (après ton
autre poème, Merci ) des évocations à peine voilées de l'amour,
par petites touches raffinées et pudiquement impudiques, ou inversement,
impudiquement pudiques, ta façon d'effleurer, d'effeuiller, de déflorer
les mots et les choses avec la légèreté et la sensibilité de l'amant,
aux sources même du désir et toujours en quête des plaisirs
charnels dans ce "jardin extraordinaire", où s'épanouissent
l'abricot, la fraise, et tous les fruits de ton verger secret. CLOCLO
Les fruits et le verger sont vôtres, moi simple passager ébloui
par la beauté d'un monde dont vous êtes ordonnatrices. Ph A
Toujours autant de sensualité, de sensibilité et de douceur, de naturel
et de fraîcheur, un poème d'une tendre fluidité à lire tout doucement,
comme un murmure... zohra.coudoin@free.fr
Je suis bien content d'avoir capté la longueur d'onde de ce petit
satellite et qu'il vous plaise de m'accompagner dans cette visite de
courtoisie.
Par ailleurs j'ai réussi à installer dans le grenier de notre atelier un
dossier que j'ai appelé Partage, et où chacun(e) pourra proposer des
textes perso qu'elle (il) souhaite offrir à la lecture du groupe.
Et comme j'étais sur place j'ai rajouté une photo et deux peintures dans
un petit carnet. Ph A
Que dire sur ton satellite qui n'aie déjà été dit ? A part que c'est une petite douceur qu'on a envie d'écouter les
yeux fermés . Merci pour cette note de fraîcheur que l'on trouve au réveil.
Bises Estelle
Merci, bien que ce soit déjà dit comme tu dis encore Encore, et
si tu veux les yeux fermer, à ton oreille je veux bien tout doucement le
murmurer, encore encore. Ph A
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