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SARKO, VITE(20) !!! Sus aux chomeurs!!!
SARKO, VITE(19) Modernisons, modernisons !!!... Le projet de loi de modernisation de l'économie n'a comme seul angle le renforcement des libertés des plus puissants, et omet totalement de renforcer les droits des consommateurs. Dans une société libérale, le plus de libertés des uns, doit être équilibré par un plus de responsabilités et donc plus de droits pour les autres ! Or, le projet de loi ne contient aucun volet consommation et les très rares dispositions intéressant à la marge les consommateurs, ne sont que des réformes à minima. Pourtant des engagements consuméristes ambitieux avaient été pris par le Président de la République et le gouvernement. La LME devait les concrétiser en matière de prix dans les grandes surfaces, de mobilité bancaire, de lutte contre les clauses abusives, et, bien sûr, traduire la promesse présidentielle d'introduire dans notre droit une «action de groupe à la française». Devant le mutisme et les insuffisances du texte gouvernemental, l'UFC-Que Choisir constate donc avec amertume que la clause de rendez-vous n'a pas été respectée et que les consommateurs sont une nouvelle fois les grands perdants des arbitrages ministériels. La déception est à la hauteur de l'attente : immense ! www.quechoisir.org/...CMC300 Dessin de Chapate - 11/08/2008, dans CI
SARKO, VITE(18) !!! C'est l'esprit Matamore...La classe politique française s'est longtemps fait une mauvaise idée de la politique et de l'économie …. Les gaullistes par esprit de "grandeur". Les socialistes par ignorance. Nicolas Sarkozy est aujourd'hui victime de cette erreur. La faute en revient au "volontarisme" qui, comme le dit Jean-Louis Bourlanges (L'Expansion, avril 2008), est "une doctrine singulière qui dispose que la volonté de l'homme l'emporte toujours sur la réalité des choses dès lors qu'elle est affirmée avec éclat". C'est l'esprit Matamore qui a fait croire au candidat qu'il suffisait qu'il arrive et qu'il "veuille" pour que les solutions soient trouvées afin de, tout à la fois, augmenter le pouvoir d'achat et rétablir la compétitivité des entreprises, abaisser les impôts et redresser les comptes. Qu'il suffisait de dénoncer la "pensée unique" et de critiquer la BCE pour marier les contraires et trouver le moyen de mener, tout à la fois, une politique de demande et une politique d'offre. Nicolas Sarkozy, par enthousiasme, s'est fourvoyé encore plus avant : il a péché par excès de "grandeur", c'est la reprise ridicule de la " politique de civilisation" d'Edgar Morin, et par excès de minuscule, c'est le président micro-manager qui décide du moindre détail de tout. Le "volontarisme" s'est, bien entendu, heurté "aux choses". Le choc de confiance n'est pas venu, au contraire, et l'incohérence a troublé la politique macroéconomique du pays. N'y revenons pas. … Un an après, … le retour "aux choses", aux réalités, n'est donc pas encore achevé mais il se dessine. … Ni de Gaulle ni Zorro, donc. Tant mieux ! Président pragmatique, il se veut l'homme qui "va faire les réformes". Si tel est le cas, c'est historiquement bien suffisant pour remplir un mandat. … … Ce qu'il faut faire est archi-connu, il y a trois volets de réformes : le travail, l'école, l'État. Même la gauche partage le diagnostic. Alors, fi des grands discours, de la belle rhétorique, des leçons données au monde entier : aux réformes ! … … Curieusement, ce sont les réformes d'inspiration "de gauche" qui sont poussées le plus loin : le RSA, la télé publique sans pub et, révolution, la représentativité syndicale qui mise sur une CGT réformiste. Pour le reste, l'administration syndiquée et l'UMP sont les vraies forces de résistance, plus que l'opinion. C'est là qu'il faut porter non plus le volontarisme mais la volonté. Eric Le Boucher - LE MONDE - 26.04.08
Après les belles paroles...
( canard enchaine - 30/04/08) Les sans-papier...
Monsieur Sarkozy ne comprend pas ce que veulent ces gens-là. En France depuis
le 17 avril, dans la restauration, dans le bâtiment, dans le nettoyage, des
travailleurs sans papiers se sont mis en grève au grand jour pour demander une
régularisation. ... Mais Monsieur Sarkozy ne comprend pas. Monsieur Sarkozy
fait mine de croire que ces gens-là veulent devenir français. Il fait semblant
de mélanger naturalisation et régularisation. « On ne devient pas français
en travaillant dans la cuisine d’un restaurant » expliquait Monsieur Sarkozy
le 24 avril. Mais les sans-papiers ne demandent pas à devenir français, ils
demandent le droit de travailler dans la légalité avec un titre de séjour.
Monsieur Sarkozy le sait parfaitement. Mais il entretient l’équivoque, il ménage
ce qui lui reste de voix dans la droite dure, il fait vibrer la bonne grosse
ficelle xénophobe. « La loi prévoit un certain nombre de critères pour
devenir français, d’abord il faut le demander, ensuite il faut parler français,
enfin il faut justifier soit d’un contrat de travail soit d’un minimum de
ressources »... En
attendant, l’opinion soutient à 68% les travailleurs sans papiers... Mais
Monsieur Sarkozy s’en fout. Pas de régularisation. Que du cas par cas. A
l’heure où le vieux Le Pen ressort son « détail », Sarkozy lui aussi espère
se refaire avec la France qui craint. Avec la France des petits blancs méprisés
et "beaufisés"par les malins bobos... SARKO VITE(17)!!! Odieux!!!
"Voilà
à quoi conduit la précarisation du séjour ! On n'a pas arrêté de repousser
le moment où les conjoints de Français peuvent avoir une carte de résident",
dénonce Nicolas Ferran du mouvement Les Amoureux au banc public, qui défend le
droit à une vie normale pour les couples mixtes. Depuis la loi de 2006, les
conjoints de Français doivent attendre trois ans pour faire la demande d'une
carte de résident. Avant cela, un titre de séjour temporaire leur est délivré
de plein droit, mais "à condition que la
communauté de vie n'ait pas cessé". Infos de TF1, 13h le 6/4 : Ca y est!!! Les autorités lui ont renouvelés son visa et se sont excusés!! |
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